La
page
blanche

Le dépôt

AUTEUR-E-S - Index I

17 - Maheva Hellwig

Note 2 - Raiponce et Cendrillon

La rage, ô Dante, fait mal. Amour abscons parce que ce lyrisme ne sied

guère plus à une vague histoire de sexe. La colle est belle à la lune et le

bas ravin dur à franchir en ces temps de lutte. A Toi, athée, je n'en dis

guère plus car c'est au soleil de tes mots que je me chauffe. Il allume son

briquet de ma cigarette et je me sens poindre, l'aube de cette nuit où

nous passerons un jour ensemble. La vague est lasse de vivre et crire...

pardon, crier pour parler parce que ça aussi est difficile. La Mort est dure

et meurt un peu plus chaque jour en ton regard cette pointe de souvenir

du premier jour et seule nuit.


A l'eau troublée, je réponds amitié que je pends à son nez chaque jour

sans le mordre. Ça a des ratés, râpés comme du gruyère sur une patte.

Ma seule étoile est morte et mon luth constellé porte le soleil noir de ma

mélan... colique? Abolir le lyrisme. Ces galets, car nous étions en plein

contrat social, au moment où ne se distingue que la séduction

amoureuse par l'ablation de l'amitié en un baiser. Immondice latente.

Dépressive pâteuse au sein de la bière. Par une remarque déplacée plus

que ce geste au lit, nuitamment danser. Il y a autre chose qui sublime et

rend le lyrisme infranchissable. C'est Dieppe.