Le dépôt
Note 2 - Raiponce et Cendrillon
La rage, ô Dante, fait mal. Amour abscons parce que ce lyrisme ne sied
guère plus à une vague histoire de sexe. La colle est belle à la lune et le
bas ravin dur à franchir en ces temps de lutte. A Toi, athée, je n'en dis
guère plus car c'est au soleil de tes mots que je me chauffe. Il allume son
briquet de ma cigarette et je me sens poindre, l'aube de cette nuit où
nous passerons un jour ensemble. La vague est lasse de vivre et crire...
pardon, crier pour parler parce que ça aussi est difficile. La Mort est dure
et meurt un peu plus chaque jour en ton regard cette pointe de souvenir
du premier jour et seule nuit.
A l'eau troublée, je réponds amitié que je pends à son nez chaque jour
sans le mordre. Ça a des ratés, râpés comme du gruyère sur une patte.
Ma seule étoile est morte et mon luth constellé porte le soleil noir de ma
mélan... colique? Abolir le lyrisme. Ces galets, car nous étions en plein
contrat social, au moment où ne se distingue que la séduction
amoureuse par l'ablation de l'amitié en un baiser. Immondice latente.
Dépressive pâteuse au sein de la bière. Par une remarque déplacée plus
que ce geste au lit, nuitamment danser. Il y a autre chose qui sublime et
rend le lyrisme infranchissable. C'est Dieppe.