Le dépôt
L'air
L'air de rien
L'air de tout
Sans air du tout
Je te respire
Au delà des convenances
À l'abri des confessions
Tu es ma respiration
Et si des oiseaux noirs
Hurlent à la lune
Je deviendrai louve
Accrochée à tout ton air
Tu m'as donné et la vie
Et ta mort non partagée
Tous les corbeaux de la nuit
Je les tuerai un à un
Sang et plumes mêlés
Revisité par Pierre Lamarque 😉