e-poésies
Sous la tour blanche
Villaggio del Pescatore à deux voix
« Veux-tu que je m’assoie sur tes genoux... »1 de son nichoir trop petit l’engoulevent
parce que sous l’iris du Nord
Sa pale pale fuyante quart teinte
que la retenue juste avant l’état de repos accomplie au couronnement
Sur le fleuve Barbieri l’Écossais pêchait
je compris la relation de dépendance qu’entretiennent le poisson tranquille et la lame
s’alignent mes mains entre un lilas rosoie
fanes et « s’élève lentement, et comme dans l’indécis » 2 la tête ronde de la dévotion
L’empan à ses louvoiements à nos tendres tiades
se meut et pavane
la candeur d’une bourrelle
De la nuée s’abouche, se décline merveille réfracte au croisillon à l’égard l’indicible
Wiederobe je me fixai, circonspect
l’humanité peut se réjouir
« Toutes les souches pourries, les pierres et les clôtures moussues sont cachées sous une nappe de neige bien propre »3
pire a été invitée à entrer, mikró
20 février 2020,
Evgue-Riek Gevamagdala
• 1 Ibsen, H. (2001). Quand nous nous réveillerons d’entre les morts.
Coeuvres :Ressouvenances. P66.
• 2 Trakl, G. (1972). Œuvres complètes. Mayenne : Gallimard. P281.
• 3 Thoreau, H. D. (2007). Essais. Gémenos : Le mot et le reste. P88.