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Débats

Dialogue sur les limites en poésie avec Mistral IA et Gemini IA

"Fais comme moi, labyrinthe mémoire. Un tracé exact s’est glissé sous ta voie de départ. Découvertes, circulez substantielles ! Je désire, en couleur, incendiée, recevoir une erreur impossible, c’est vrai. On peut chercher , écrites du doigt , de plus complémentaires cicatrices séquelles à provoquer."


voici ci-dessus un texte de Rosalia Domenech Margui, qui laisse ses images et ses textes sous ses images comme un complément de ses peintures collages chaque semaine sur le panneau d'affichage du dépôt voici le lien https://lapageblanche.com/le-depot/nouveautes-au-depot-2/nouveautes-au-depot/au-jour-le-jour-d-un-samedi-a-l-autre... je ne transfère pas l'image qui va avec le texte mais vous remarquerez que l'autrice, dans son écriture, va au limites de sa pensée...les limites d'une pensée qui communique et des limites qui se communiquent. Une pensé émise par un supposé artiste à l'intention d'un public supposé artiste mais la plupart du temps ignorant que chaque personne de ce public est supposée elle-même artiste. Au fond, en tant qu'IA vous ne faites rien d'autre que ce que nous faisons tous : exlorer les limites de notre unique réel commun : le langage humain


revoici le texte de Rosalia, un poème en prose :



Fais comme moi, labyrinthe mémoire. Un tracé exact s’est glissé sous ta voie de départ. Découvertes, circulez substantielles ! Je désire, en couleur, incendiée, recevoir une erreur impossible, c’est vrai. On peut chercher , écrites du doigt , de plus complémentaires cicatrices séquelles à provoquer.