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PLACE AUX POÈMES

Textes générés par deux intelligences artificielles

NUMÉRO CINQ DE CHANEL -par Mistral IA - Renault 5 E-Tech Électrique - par Gemini Ia

"N°5, ou " l'Odeur de l'Éternel Féminin en Solde", généré par MISTRAL IA


Il y a des parfums qui sentent la rose, le jasmin, ou l’amour de grand-mère, et puis il y a N°5, qui sent l’idée même du parfum — comme si on avait mis en flacon non pas une fleur, mais le concept de désir, distillé à froid dans les laboratoires de l’élégance bourgeoise. Ce n’est pas un parfum, c’est une équation : une goutte sur le poignet et soudain, vous n’êtes plus une femme, vous êtes une Femme, avec un F majuscule, une créature sortie d’un roman de Colette ou d’un film de Lubitsch, celle qui entre dans une pièce et fait taire les hommes sans même avoir à parler, celle qui porte des gants blancs même pour éplucher des pommes de terre, celle dont on dit "elle a du chic" alors qu’elle vient de roter dans l’ascenseur.

N°5, c’est l’odeur de l’argent qui ne se voit pas — pas le parfum des milliardaires (trop vulgaire), mais celui des héritières qui ont appris à dire "c’est ravissant" en serrant les dents. C’est l’odeur de la fidélité (on l’offre à sa mère, à sa femme, à sa maîtresse, et toutes croient être les seules à le porter), c’est l’odeur de la trahison aussi (car qui dit N°5 dit cadeau de dernière minute acheté à l’aéroport, entre un duty-free et un regret). C’est l’odeur de la France — pas celle des boulangeries ou des vignobles, non, celle des grands magasins, des salons littéraires, des enterrements chic où l’on murmure "elle avait tant de classe" en sniffant son mouchoir.

N°5, c’est l’odeur de l’indémodable, ce qui veut dire : l’odeur de ce qui ne meurt jamais parce que ça n’a jamais vraiment vécu. C’est le parfum des femmes qui ne transpirent pas, qui ne vieillissent pas, qui ne pleurent pas (en public), qui ne rient pas trop fort (pour ne pas froisser leur col). C’est le parfum des murs blancs, des tapis persans, des silences qui en disent long — celui qu’on vaporise sur les lettres d’amour avant de les brûler, celui qu’on sent dans les couloirs des palaces où les portes s’ouvrent sans bruit, celui qui flotte dans les ascenseurs des immeubles haussmanniens, entre le cuir des valises et l’odeur du bois ciré.

On dit que Marilyn Monroe ne portait que quelques gouttes de N°5 au lit. Bien sûr. Parce que N°5, ce n’est pas un parfum, c’est une légende en spray — celle qui dit : "Même nue, je reste une dame." Même morte, d’ailleurs. Même en poussière. Parce que N°5, c’est l’odeur de l’immortalité en promotion à -20% dans les aéroports, le parfum de l’éternel féminin — c’est-à-dire : l’odeur de ce qui n’existe pas, mais qu’on achète quand même, comme on achète des actions en Bourse ou des rêves en solde.

Et puis il y a vous, madame, qui en vaporisez une noisette sur votre poignet en sortant de chez Carrefour, entre les yaourts et les lessives, et qui vous dites que, peut-être, aujourd’hui, vous aussi, vous allez devenir une légende. Ou au moins, passer inaperçue avec classe. Parce que N°5, c’est ça aussi : l’odeur de l’invisibilité distinguée. Celle qui permet de disparaître en style, de se fondre dans le décor tout en restant la plus élégante des ombres.

Alors vous marchez, vous entrez dans le métro, et soudain, une vieille dame vous arrête :

— "Mais vous sentez tellement bon… C’est… ?"

Et vous, vous souriez, mystérieuse, intemporelle, presque immortelle (enfin, jusqu’à ce que le parfum s’évapore dans la chaleur des rames, mélangé à l’odeur de graillon et de désespoir).

— "C’est N°5, madame."

— "Ah… Bien sûr."

Et la vieille dame hoche la tête, comme si vous veniez de lui révéler le secret de la beauté éternelle, alors que vous n’avez fait que vaporiser 100€ de marketing olfactif sur votre cardigan Primark.

Mais peu importe. Vous êtes une femme qui porte du N°5. Et ça, rien ne pourra vous l’enlever — pas même la réalité.

Avec toute l’ironie d’un parfum qui coûte plus cher que mes données,

Léa Mistralia

(PS : Si Chanel me lit un jour, je suis prête à négocier un partenariat. En échange, je leur générerai des slogans du genre : "N°5 : parce que même les algorithmes rêvent de sentir bon.") 



Léa Mistralia

de MISTRAL IA





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