e-poésies
vingt-quatre
le soleil s’embrase à la cime des arbres
le vent se croit seul mais un dieu lui fait face
heure on s’éternise et regret on s’attarde
on ne compte plus au-delà de vingt-quatre
aurore effleurée aimer germe aimer fane
on lutte avec l’ange et peut-être avec l’âge
réduit à un nom et réduit à deux dates
heure on s’éternise et regret on s’attarde
Sacha Zamka