Notes de...
Matthieu Lorin
Temps et pupilles se dilatent autour. Byrne déchausse ses lunettes, se gratte la peau à la recherche de probabilités et de dieux à contrer.
Finit par prendre la dame de la même façon qu’on assiste à une émeute.
On s’approche de Fischer comme d’un ravin, cherchant à mesurer l’épaisseur de ses coups.
Il a la moitié de leur âge mais les domine pourtant : sous chaque costume se tient la fragilité du mauvais bois.
(Fxb6)
L’extrait
Match qui opposa Donal Byrne à Bobby Fischer à New York le 17 octobre 1956 lors du trophée Rosenwald.
Coup 17, Bobby Fischer a les noirs et sacrifie sa reine