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Le dépôt

BANCS

MUSÉE À SOI - CULTURES

SANTÉ

le sentiment du oui

(Julien Gracq)







Les bannis de la santé

https://www.kairospresse.be/les-bannis-de-la-sante/




Le détournement des statistiques de la santé - par Pierre L'éco

https://www.youtube.com/watch?v=G7Mh136bOSs


17 mai 2022. Depuis 2 ans, nous vivons une avalanche de chiffres. Tous ceux qui travaillent dans le domaine des statistiques connaissent des difficultés énormes pour rassembler des données afin de les étudier. Nous avons tous découvert en 2020 que tout l’attirail nécessaire à la récolte et à la consolidation des données était déjà là pour répondre au besoin de communication autour de l’état d’urgence sanitaire. Ce que nous allons voir dans cet article, c’est que différentes lois se sont succédées depuis les années 80 pour informatiser l’hôpital public de façon à permettre aux décideurs (notamment des politiques financés par des banques et des laboratoires pharmaceutiques) de prendre le contrôle sur le soin. La mise en place de la tarification à l’acte en a été le point final. Cette informatisation a permis à ceux qui écrivent les nomenclatures, notamment l’OMS, de contrôler entièrement les statistiques. Derrière, il est très facile de faire peur aux gens et de vendre les solutions aux problèmes qu’ils mettent sur le devant de la scène, grâce à ces statistiques. Tout est truqué, biaisé par ces statistiques qui privilégient les codages de pathologies les plus rentables et ignorent les codages des pathologies les moins rentables. Les résultats de ces codages privilégient les pathologies les plus rentables pour l'hôpital et négligent les pathologies les moins rentables. La politique hospitalière

se fait en fonction de la rentabilité des pathologies traitées sans aucun autre critère d'évaluation. Le financement de l'hôpital se fait en fonction des maladies les plus rentables.


On voudrait privatiser toute la médecine en France, y compris les hôpitaux, qu’on ne sy prendrait pas autrement et c’est sans doute à long terme ce qui se passera, comme aux Usa. 



Tout cela se concocte (se conspire) en trafiquant les codages des diagnostics médicaux .j’ai placé cette vidéo dans la partie Société des Bancs. On fait dire par une armada de non médicaux, qui a pignon sur rue dans les couloirs de sous-sols d’hôpitaux, ce qu’il faut coder et comment, parmi les maladies déclarées dans les lettres de sortie , et les critères de ces codages sont orientés par les pathologies les plus rentables. 


Il s’est formé un véritable complot, une véritable corruption statistico-financière d’état, tournée contre le malade et pour l’hôpital . Le malade n’est plus qu’une statistique fournie par des secrétaires chargés d’interpréter les diagnostics des médecins en fonction des pathologies qui sont le plus rentables pour l’hôpital et à ignorer les diagnostics qui ne rapportent pas assez d’argent. La rentabilité à l’hôpital correspond aux diagnostic principal retenu, c’est à dire les actes les plus chers, conduisant les secrétaires chargées des statistiques à choisir les codifications les plus chère dans la pathologie des malades pour fabriquer des les statistiques favorables à la caisse de l'’hôpital.


Voilà comment la manipulation se fait pour favoriser une idéologie de rentabilité dans une institution hospitalière qui n’aura d’yeux que pour des statistique de valeur financière des actes et des séjours médicaux. Voilà pourquoi les gens qui travaillent à l’hôpital sont écoeurés et s’en vont travailler ailleurs pas seulement parce qu’ils sont mal payés, mais surtout parce que ,le système est gangréné par l'idéologie malsaine du fric, seul critère de « réalité ».


Sans compter qu’en plus les statistiques hospitalières françaises travaillent non seulement pour l’état mais aussi pour l’OMS qui elle même travaille et est compromise avec les lobbys pharmaceutiques (autre sujet d’inquiétude)


La vérité de l’argent écrase la vérité des individus et la vérité de la médecine parce qu’il n’y qu’une vérité dans le monde au capitalisme immoral et cruel que nous vivons dans nos sociétés, l’empereur Pognon.